1. PETA, une voix mondiale pour les animaux
Depuis plus de 40 ans, PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) défend un principe simple mais puissant : les animaux ne nous appartiennent pas et ne sont pas destinés pour être exploités.
Fondée en 1980 aux États-Unis par Ingrid Newkirk et Alex Pacheco, l’organisation est devenue la plus grande association de défense des droits des animaux au monde. Elle agit sur tous les fronts : alimentation, vêtements, laboratoires, divertissement… et bien sûr, l’industrie du cuir.
Sa méthode : enquêter, dénoncer, faire évoluer. PETA mène régulièrement des investigations de terrain dans des élevages, tanneries et abattoirs du monde entier. Elle révèle au grand public les conditions de vie, et surtout de mort, des animaux exploités pour leurs peaux.
Mais PETA, c’est aussi un moteur de changement. Grâce à ses campagnes de sensibilisation et à ses collaborations commerciales, elle incite le monde de la maroquinerie à choisir des matériaux éthiques, sans souffrance, et respectueux de la planète.
2. L’industrie du cuir : une réalité souvent ignorée
Derrière chaque sac ou portefeuille en cuir se cache une chaîne de production d’une violence insoupçonnée. Contrairement aux idées reçues, le cuir n’est pas un “sous-produit” de l’industrie alimentaire, mais bien une source de profit à part entière.
Chaque année, plus d’un milliard d’animaux sont tués pour leur peau. Vaches, veaux, chèvres, moutons, voire crocodiles ou chiens : les pratiques sont choquantes, souvent cachées, rarement réglementées.
L’élevage intensif, le transport long et brutal, l’abattage sans étourdissement, le dépeçage parfois à vif… Ces actes sont documentés par PETA dans de nombreuses enquêtes.
Le tannage du cuir est lui aussi un processus lourdement polluant : chrome, solvants, formaldéhyde. Les substances utilisées contaminent l’eau, les sols et mettent en danger les ouvriers, souvent dans des pays en développement. Le cuir n’est donc ni propre, ni éthique, ni écologique.
Face à cette réalité, de plus en plus de marques repensent leurs matériaux. Chez Treizkot, nous avons choisi une alternative responsable : le cuir vegan en polyuréthane (PU).
3. L’engagement de Treizkot à travers la certification PETA
Chez Treizkot, nous n’avons jamais envisagé d’autre voie que celle du respect : respect de l’animal, de l’humain, de l’environnement et de nos clients.
C’est pourquoi nous avons choisi de faire certifier nos produits “PETA‑Approved Vegan”.
Qu’est-ce que cela signifie concrètement ?
- Aucune matière d’origine animale : ni cuir, ni colle, ni sous-produit dissimulé.
- Une vérification complète de nos matériaux, fournisseurs et processus.
- Un gage de confiance pour celles et ceux qui veulent consommer autrement.
Cette certification est plus qu’un label, c’est la preuve de notre engagement profond pour une mode consciente. Choisir un produit Treizkot, c’est choisir un produit sans exploitation animale. C’est soutenir une entreprise qui croit à une maroquinerie élégante, responsable et certifiée. Nos accessoires en cuir PU vegan, durables, fabriqués en France, personnalisables à souhait, en sont la preuve.
Parce que derrière chaque article que nous créons, il y a une idée simple : la beauté ne devrait jamais être cruelle.